À Taïwan, le Parti nationaliste chinois, ou KMT, vient, ce samedi 1ᵉʳ novembre, de nommer officiellement sa nouvelle présidente, Cheng Li-wun. Ouvertement pro-dialogue avec Pékin et opposée à toute augmentation du budget de la défense malgré les menaces chinoises d’unifier l’île par la force, elle incarne cet autre pan de Taïwan qui aimerait pouvoir tirer profit d’un rapprochement avec la Chine.