« Ils sont libres, nous écrit Daniel, un lecteur de Récourt. Ils gazouillent, on entend leurs chants de victoire. Libérés par l’armée des coronavirus, ils font la fête et espèrent que ça va durer ! ». Combien êtes-vous à ressentir pareil enchantement, fenêtres ouvertes, dans les jardins, dans les rues vidées de ses hommes ? N’en déplaise pourtant à Daniel, ...