Pétition pour un train Clermont-Paris en 2 h 30 : déjà plus de 1.600 signatures
La pétition en ligne lancée par un collectif d'associations en faveur de la ligne ferroviaire Clermont-Ferrand-Paris, pour un temps de trajet à 2 h 30, a recueilli plus de 1.600 signatures et se poursuit. Objectif : peser et rencontrer le président de la République.
La pétition lancée sur Internet en faveur d'un temps de trajet à 2 h 30 sur la ligne SNCF Clermont-Ferrand-Paris est sur les bons rails.
Lancée il y a dix jours par huit collectifs et associations de trains du Massif central (dont le collectif des usagers de la ligne SNCF Clermont-Paris, l’association Objectif Capitales, l’association des usagers des transports d’Auvergne FNAUT), la pétition intitulée « Clermont-Paris en 2 h 30 par le train, c’est pourtant possible » a déjà recueilli plus de 1.600 signatures. Prochain objectif : le cap des 2.500.
« C’est tout le Massif central qui se mobilise »« Nous devons collectivement et massivement montrer au président de la République et au gouvernement que c’est tout le Massif central qui se mobilise pour son accessibilité à la capitale », expliquent les initiateurs de cette démarche.
La pétition se trouve à l'adresse suivante : change.org/train_clermont-paris_2h30
Les Lyonnais disent oui à RailcoopLa société coopérative Railcoop, qui projette de relancer la liaison ferroviaire Bordeaux-Lyon via Limoges, Montluçon et Saint-Germain-des-Fossés, abandonnée depuis 2013, vient de recevoir le soutien de la Métropole de Lyon. La puissante collectivité, présidée par l’écologiste Bruno Bernard, vient d’entrer au capital de la société coopérative d’intérêt collectif (SCIC) à hauteur de 80.000 € et fait désormais partie des 13.700 sociétaires de Railcoop. Une entrée qui fait suite à celle de la ville de Lyon (à hauteur de 20.000 €), elle aussi écologiste.