Un livre acheté sur cinq en France est un livre d’occasion. En dix ans, ce marché a grimpé de 30 %, mais il ne profite ni aux auteurs ni aux éditeurs. Et pas plus aux bouquinistes, librairies, Emmaüs et autres enseignes commerciales d’Alsace. Le marché est capté par les grandes enseignes de la vente en ligne.