Lors d’une tentative de raid sur le maroquinier en 2010, le patron de LVMH avait acheté 6 millions d’actions, dans des conditions qui interrogent, à l’un des héritiers de la famille. Le PDG du numéro 1 du luxe est désormais susceptible de voir la justice le considérer comme receleur du délit d’abus de confiance, voire comme complice.