Mardi 25 novembre, la capitale irakienne s’est réveillée en suffoquant. La qualité de l’air de Bagdad avait franchi le seuil de toxicité, a alerté l’institut météorologique. Les conditions atmosphériques et l’absence de vent ont contribué à maintenir un nuage de particules polluantes au-dessus de la ville pendant près de dix heures. Les habitants pourtant habitués à la pollution sont en colère contre les autorités.