Alors que des sénateurs socialistes proposent un emprunt obligatoire ciblant les 20.000 foyers les plus riches pour lever jusqu’à 6 milliards d’euros en vue de redresser les comptes publics, le gouvernement n’écarte pas totalement cette mesure exceptionnelle — un prêt forcé qui, bien que remboursé sans intérêt, ressemble fort à un impôt qui ne dit pas son nom.