Le seul accusé rejugé affirme « avoir été manipulé » par Dominique Pelicot, explique à Ouest-France un de ses avocats, Me Jean-Marc Darrigade. Mais « le statut de victime de Gisèle Pelicot n’est pas contesté », dit-il aussi, dévoilant une partie de sa stratégie de défense avant l’ouverture du procès en appel, lundi 6 octobre à Nîmes.