Dix personnes sont jugées jusqu’à demain, mardi 28 octobre, pour des faits de cyberharcèlement visant Brigitte Macron. Ils sont soupçonnés d’avoir partagé une infox ciblant la première dame, selon laquelle elle serait une femme transgenre. Ce lundi, lors de la première journée d’audience, des prévenus ont plaidé la « liberté d’expression » ou encore « l’humour » tout en minimisant les impacts de cette rumeur sur la Première dame.