Au Ghana, ils sont plusieurs dizaines de manifestants à s’être rassemblés entre dimanche et lundi 22 septembre à Accra pour dénoncer le galamsey, le nom local donné à l'orpaillage illégal et qualifié de « véritable fléau environnemental », un an jour pour jour après une première série de manifestations pour dénoncer le même problème. Les manifestants appellent le nouveau pouvoir arrivé en janvier à agir en urgence afin de sauver les forêts et les cours d’eau du pays.