Dimanche 26 octobre, les électeurs argentins se rendent aux urnes pour renouveler partiellement le Congrès. Javier Milei doit absolument renforcer son pouvoir dans les deux chambres afin de pouvoir continuer d’appliquer sa politique d’austérité. Car le président argentin a beau se présenter avec sa tronçonneuse, il est de plus en plus bloqué par un Congrès où son parti est très minoritaire. RFI a interrogé David Copello, maître de conférences et spécialiste de l’Argentine à l’Institut catholique de Paris, sur les enjeux de ce scrutin.