En Ouganda, la police a annoncé cette semaine le recrutement de 100 000 agents spéciaux, pour une période de trois mois, afin d’encadrer la présidentielle du 15 janvier prochain. Une mesure officiellement présentée comme une réponse à la sécurité du scrutin, mais qui suscite l’inquiétude des défenseurs des droits humains.