PSG : Jugée « opportuniste », l’ex-femme d’Achraf Hakimi sort du silence et répond aux attaques machistes

L’ex compagne d’Achraf Hakimi, Hiba Abouk, a tenu à dénoncer les critiques machistes qu’elle subit depuis l’annonce de sa procédure de divorce avec le joueur du Paris Saint-Germain, mis en examen pour viol en mars dernier.

La naissance de rumeurs déclarant que Hiba Abouk réclamerait 10 millions d’euros à Achraf Hakimi ont suffi pour déclencher des vagues de haine et des flots de critiques machistes à son égard sur les réseaux sociaux. L’actrice espagnole de 36 ans conteste et a répliqué à tous ces commentaires par le biais de la présentatrice de l’émission « Salvame » :  « C’est un monde machiste et misogyne étant donné que lorsque nous avons commencé notre relation, il ne gagnait pas d’argent et j’étais plus connue que lui. Imaginez. Ce qui est bien, c’est que ce qu’ils disent ne m’affecte plus, je veux être discrète pour que demain, je n’affecte pas notre famille. J’espère que la justice et le bon sens sont de mon côté. » La star de la télévision espagnole avait déjà fait des révélations plusieurs jours après la mise en examen du latéral droit du PSG.

En effet, elle annonçait notamment qu’elle était déjà séparée, et en instance de divorce aux moments des faits présumés. Pour rappel, une jeune femme s’était rendue au commissariat de Nogent-sur-Marne (Val-de-Marne) le 26 mars dernier en déclarant avoir été violée par le joueur marocain la veille. Aucune plainte de la victime présumée n’est à déclarer à ce jour, bien que le commissariat ait ouvert une enquête, avant que l’affaire ne soit prise en charge par le parquet de Nanterre en raison du lieu de commission supposé des faits. L’avocate de Hakimi assure de « fausses accusations. » Hiba Abouk s’était également désolidarisée de son ex-conjoint via un communiqué : « Après avoir pris la décision de se séparer légalement et de cesser de vivre ensemble, en attendant la procédure de divorce, qui aurait imaginé qu’en plus de la douleur bien connue qu’entraîne une séparation, et d’accepter le chagrin que l’échec d’un projet entraîne – un projet dans lequel je m’étais donnée corps et âme – je devrais affronter cette ignominie? »