Un an après les attentats du 13 novembre 2015 survenus à Paris et Saint-Denis, nous republions cet article.
Les chercheurs Jan Margry et Cristina Sanchez-Carretero leur ont donné un nom difficile à traduire en français: les grassroots memorials. Grassroots désigne, en anglais, «ce qui vient de la base, de la masse populaire». Aux extrémités de 2015, lors des deux vagues d’attentats, quand pleurer ne suffisait plus, quand manifester était trop éphémère, des milliers de Français grassroots... Читать дальше...