Le numéro deux de la banque centrale américaine inquiet d’une victoire d’un candidat anti-euro
Après John Greenwood, chef économiste d’Invesco basé à Londres, c’est un autre grand ponte de la finance internationale qui s’inquiète de la tournure que pourrait prendre l’élection présidentielle. Interrogé sur la chaîne CNBC, en marge des réunions de printemps du FMI et de la Banque mondiale à Washington, Stanley Fischer, vice-président de la FED, la banque centrale américaine, a relevé que l'élection française comportait «des candidats qui disent qu'ils veulent sortir la France de l'euro».
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