Attentat de Strasbourg : la police diffuse un appel à témoins pour retrouver le suspect, Chérif Chekatt
"Individu dangereux, surtout n'intervenez pas vous-même", met en garde la police nationale sur son compte Twitter.
"Individu dangereux, surtout n'intervenez pas vous-même", met en garde la police nationale sur son compte Twitter.
Le tireur a été identifié et il est activement recherché. Quatre de ses proches ont été placés en garde à vue.
L'auteur présumé de la fusillade, qui a fait au moins deux morts, est toujours recherché par les forces de l'ordre.
Le suspect, âgé de 29 ans, est né dans la capitale alsacienne. Il était toujours en fuite, mercredi en début de soirée.
Des centaines de membres de forces de l'ordre recherchent Chérif Chekatt, auteur présumé de l'attentat de mardi soir.
Cet établissement privé sert de local à l'organisation d'ultradroite Génération identitaire.
Devant le juge, il a directement mis en cause le président des Etats-Unis, assurant avoir "couvert" ses "sales coups".
L'attaque, mardi soir, dans le centre-ville de Strasbourg, a fait deux morts, ainsi qu'une personne en état de mort cérébrale et 12 blessés, dont six en urgence absolue, selon un dernier bilan réalisé en fin de journée mercredi. Nous avons pu rassembler des informations sur certaines de ces victimes.
Pour le chercheur François-Bernard Huyghe, que nous avons interrogé, une action violente est qualifiée d'attentat notamment lorsqu'il existe une volonté de faire passer un message en s'en prenant à des cibles symboliques.
La CGT-Spectacle a lancé, mardi, un appel à la "grève illimitée".
De nombreux internautes ont questionné la rédaction, ne comprenant pas que nous ne diffusions ni le nom de famille ni la photo de l'auteur présumé de la fusillade à Strasbourg. Voici la réponse.
La rédaction du journal régional a tout de même diffusé une version en ligne du quotidien.
Que ce soit sur les réseaux sociaux ou dans les lieux emblématiques de la ville, une vague d'émotions et de solidarité a submergé Strasbourg. Nous sommes tous Strasbourg.
L'auteur présumé de la fusillade, qui a fait au moins trois morts, est toujours recherché par les forces de l'ordre.
Plusieurs centaines de membres des forces de l'ordre sont mobilisées pour sécuriser les accès et les rues de la "Grande Ile" durant le célèbre marché de Noël. Franceinfo fait le point sur cette organisation.
Arnaud Danjean membre de la sous-commission Défense du Parlement européen, relativise sur franceinfo mercredi l'efficacité des mesures de sécurité, aussi rigoureuses soient-elles, face à un individu déterminé, au lendemain de l'attentat qui a frappé Strasbourg.
Comment continuer à vivre après avoir vécu un choc psychologique, après avoir été confronté à la mort ? Dominique Mastelli, médecin psychiatre aux hôpitaux universitaires de Strasbourg dirige la cellule d'urgence médico-psychologique mise en place mardi soir à Strasbourg. Il répond à nos questions.
Le suspect, âgé de 29 ans, est né dans la capitale alsacienne. Il est toujours en fuite, mercredi à la mi-journée.
Au moins trois personnes ont été tuées et 12 autres blessées, dont huit grièvement, par un tireur, mardi. Le suspect, un homme de 29 ans, Chérif C., fiché "S", est toujours en fuite mercredi matin.
Le salaire minimum mensuel va ainsi passer de 858 euros à 1 050 euros brut.
Une perquisition a été opérée au matin de l'attaque, mardi, au domicile du tireur présumé, pour des faits de droit commun. Absent de son domicile, l'homme n'a pas pu être interpellé, mais des armes ont été saisies et des personnes arrêtées.
Il s'agit du cardinal George Pell, poursuivi en Australie pour agressions sexuelles contre des enfants, et du cardinal Francisco Errázuriz, soupçonné d'avoir tu au Chili les agissements d'un prêtre pédophile.
Les questions au gouvernement, mercredi, à l'Assemblée nationale pourraient relancer le débat sur la protection contre le terrorisme.
Trois personnes ont trouvé la mort dans une fusillade, mardi 11 décembre, dans le centre-ville de Strasbourg. Deux Picards, Marcel Glavieux, dirigeant sportif samarien, et Jean-Jacques Thomas, maire d'Hirson (Aisne), se trouvaient alors sur les lieux du drame. Ils nous ont confié leurs témoignages.
Chérif C. avait cambriolé un cabinet dentaire à Mayence en 2012, où il avait notamment dérobé de l'argent liquide et des dents en or.