Attentat à Nice : prélever des organes entiers sur des victimes "ne se justifiait pas", dit François Molins
L'ancien procureur antiterroriste François Molins a estimé lundi au procès de l'attentat de Nice que le choix fait par les médecins légistes de prélever l'entièreté des organes de certaines victimes "ne se justifiait pas", tout en défendant la nécessité des autopsies pour les besoins de l'enquête.